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19/10/2025

Seule Venise de Claudie GALLAY

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Avant, j’ai lu « Les déferlantes » voir ici  et j’ai adoré ce livre même si je me souviens que j’avais eu du mal à rentrer dans l’histoire. J’en ai donc acheté un autre, au hasard.

Je vous mets la quatrième de couverture :

À quarante ans, quittée par son compagnon, l’héroïne vide son compte en banque et part pour Venise. C’est l’hiver, les touristes ont déserté la ville et seuls les locataires de la pension où elle loge la soustraient à sa solitude. Un aristocrate russe en fauteuil roulant, une jeune danseuse et son amant. Et puis, il y a ce libraire raffiné, aussi amoureux des livres anciens que des mots…
Dans une Venise inattendue, froide et mélancolique, les blessures peuvent-elles cicatriser pour donner au désir une chance de renaître ?

Tout au long du livre, le style est haché, les phrases sont très courtes, sauf dans les dialogues.

Exemple :

« Je marche. Je veux faire le tour de Venise. Je crois cela possible, cela ne l’est pas. Le quai finit en butée contre un pont. Après, c’est la gare maritime. Impossible d’aller plus loin. »

Je n’aime pas ce style. Cela me dérange, me met mal à l’aise. Plusieurs fois j’ai voulu arrêter ma lecture, mais j’ai continué. Toujours cette lecture désagréable.

Peu à peu, j’ai fait connaissance avec les personnages. Cette autrice a une façon discrète de nous faire rentrer la vie de ses personnages. J’ai particulièrement aimé l’héroïne et le prince russe. Une fois attachée aux personnages, on ne lâche plus le livre malgré les phrases courtes.

Il y a un autre personnage très important dans ce roman, c’est Venise. Je n’y suis jamais allée mais maintenant j’en ai très envie ! Ces ruelles, l’eau partout, les gondoliers.

En résumé, malgré le style de cette auteure, j’ai plongé dans cette histoire et son ambiance.

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